O Castelo Manuelino de Alfaiates - Evolução Histórica
Alfaiates, Foral Leonês de Alfaiates de 1209, Foral Manuelino de 1.6.1515
segunda-feira, 18 de janeiro de 2021
sexta-feira, 3 de abril de 2020
Massena à Alfayates - 8e Corps d'Armée - 11.355 Hommes - 1.933 Chevaux - L'Armée Passe en Espagne -
1811
(Páginas 423-424)
(Páginas 423-424)
Le mouvement ordonné le 28 mars
fut terminé le 30, et l'armée se trouva tout entière en ligne sur la Coa. Reynier ne laissa que son avant-garde sur la rive gauche pour surveiller
les chemins de Guarda et de Sortelha. Le duc d'Abrantès se porta sur Urgeira,
le lendemain à Alfayates, et se lia avec
le 2e corps par une brigade de Solignac,
renforcée d'un régiment de dragons qui prit poste à Nave; l'autre brigade couvrit Alfayates.
La division Clausel s'établit en arrière de la ville,
sur les hauteurs d'Aldeia do Bispo, gardant
toute l'artillerie de l'armée. Le 6e corps tint par la division Marchand Ponte de Sequeiros, Vallongo
et Villar-Mayor sur la rive droite
de la Coa; les divisions Mermet et Ferrey prirent position près de Ruvina, gardant par leurs postes les hauteurs en arrière de Rapoulla do Coa. Montbrun s'étendit aux environs d'Alfayates, où, Massena
porta son quartier général.
Les nouvelles positions étaient
encore plus dénuées de ressources que les précédentes; aussi Massena se proposait d'y rester au plus
trois ou quatre jours, pour donner le temps au duc d'Istrie de préparer les subsistances qu'il lui avait demandées.
[...]
Dans la nuit du 4 avril, l'armée
se mit en mouvement pour l'Espagne; l'artillerie et les bagages avaient pris, dès
la veille, la route de Ciudad-Rodrigo. Elle marcha sur une seule colonne jusqu'à
Aldea da Ponte, à deux kilomètres d'Alfayates. Le 2e corps prit alors le chemin
de Nave de Aver et arriva de bonne heure à Fuentes de Oñoro, en avant du Rio dos
Casas, qu'il borda avec une division; Reynier poussa l'autre sur Espeja, et la cavalerie
du général Soult resta à Pozo-Velho. Le 8e corps suivit le chemin d'Àlbergueria,
porta sa première division au hameau de Campilho-Azava, et la seconde à Ituèro;
la cavalerie resta sur le chemin d'Alfayates, où elle couvrait le front du corps
d'armée. Le 6e corps prit position à Fuenteguinaldo, la réserve de cavalerie s'établit
à Castillejo, sur le chemin de Puebla de Azava et à El Bodon, gardant le pont
de Ciudad Rodrigo sur l'Agueda avec le
15e de dragons. Le 5 avril, le 2e corps atteignit Gallegos, en avant duquel
l'avant-garde s'établit, éclairant les routes d'Almeida, de Fuentes de Oñoro et
d'Espeja, les deux divisions échelonnées en arrière. Le duc d'Abrantès campa à Carpio
et Marialva, derrière l'Agueda, éclairant avec sa cavalerie le chemin d'Ituero.
Loison couvrit les hauteurs en avant de Ciudad-Rodrigo, à cheval sur la route de
Fuenteguinaldo, et la cavalerie légère cantonna entre Carpio et Marialva pour lier
le 2e corps au 6e.
Masséna arriva le 31 à Alfaiatès - Marmont prend le commandement
(Páginas
32-33)
1811
Enfin, au commencement de mars,
son armée étant réduite de plus d'un tiers, il se décida à rentrer en passant par
Pombal, Redinha, Miranda, Ponte de Macella, Guarda, Sabugal et Alfaiatès. Cette retraite de vingt-sept
jours, embarrassée de quinze ou vingt mille ânes, cette retraite faite avec des
troupes arrivées à un degré de désordre, de mécontentement et de découragement dont
rien ne peut donner l'idée, fut cependant l'occasion de divers combats glorieux,
livrés par le maréchal Ney, qui arrêta
avec vigueur plusieurs fois l'ennemi au moment où il pressait trop vivement son
arrière-garde.
Masséna arriva le 31 à Alfaiatès. Son artillerie ne se
composait plus que de dix pièces de canon. Les équipages militaires étaient détruits;
sa cavalerie démontée, ou composée de chevaux exténués. Il dut repasser la Coa,
et venir prendre des cantonnements en Espagne. Pendant cette retraite, Wellington
avait détaché le général Bill sur la
rive gauche du Tage. Ce qui lui restait
de troupes était plus que suffisant pour combattre et vaincre les débris que Masséna avait ramenés. Il passa la Coa, investit Almeida et vint prendre position sur le ruisseau qui coule à Fuentes-de-Oñoro.
On attaqua, le 4 et le 5 mai,
les Anglais dans leur position de Fuentes-de-Oñoro; et, quoique le début de
l'attaque eût promis des succès que la cavalerie eût culbuté la droite des Anglais, comme rien ne fut exécuté d'ensemble,
le résultat du combat fut contre nous. Le général Brenier, qui commandait à Almeida,
n'espérant plus être secouru, exécuta, par suite des instructions qu'il avait
reçues, une des plus vigoureuses résolutions
qui furent jamais prises, et un grand bonheur en accompagna l'exécution. Il fit
une large brèche à la place au moyen d'une mine, détruisit en grande partie
l'artillerie; et, profitant de l'espace que lui ménageait un investissement mal
fait, il traversa l'armée ennemie, et rejoignit l'armée française sur l'Agueda, en passant par San-Felices[-de-los-Gallegos].
Deux jours après
l'affaire de Fuentes-de-Oñoro, l'armée
étant sous [Ciudad] Rodrigo, Masséna
me remit le commandement. On vient de voir par combien de vicissitudes, de chances
bonnes et mauvaises, on en était arrivé à la plus déplorable situation. Le pays
était ruiné et par la guerre et par le pillage exercé par les chefs comme par les
soldats.
quinta-feira, 2 de abril de 2020
À Alfayates, le 31 mars 1811, Marmont reprend à Masséna le commandement de l'armée
DE
L'ARMÉE
FRANÇAISE
ESSAIS
D’HISTOIRE ET DE CRITIQUE
SUR
L’ ÉTAT
MILITAIRE DE LA FRANCE
Par Le
Général THOUMAS
TOME
II
PARIS
BERGER-LEVRAULT
ET Cie, LIBRAIRES-ÉDITEURS
5,
Rue des Beaux Arts, 5
MÊME MAISON À NANCY
1887
Tous
droits réservés
«Source
gallica.bnf.fr / BnF»
(Páginas 377-378)
1811
[...]
[...]
En somme, Masséna avait mis 17 jours (du 5 au 22 mars) pour reculer de 60 lieues devant une armée plus nombreuse que la sienne et ne manquant de rien, tandis que ses soldats étaient forcés de se débander pour vivre. Il ne laissa en arrière ni un canon, ni un blessé, mais ses chevaux étaient épuisés, et quand Marmont vint prendre le commandement de l'armée à Alfayates le 31 mars, l'artillerie n'avait plus que 10 pièces attelées, le reste était trainé par des boeufs*. Mémoires de Marmont, t. IV, p. 33.
Les troupes avaient une
réserve de biscuit pour quinze jours à laquelle on n'avait pas touché jusque-là
et qui servit pour la retraite. Le 4 mars 1811, les malades et les bagages furent
envoyés sur la route qu'on devait suivre, on eut soin de faire courir le bruit que
l'armée allait se concentrer à Punhete [Constância],
où se trouvait son équipage de pont, pour essayer de franchir le Tage. Le 5
mars au soir, Masséna se mit en route avec 24,000 hommes environ, dont 4,000 de
cavalerie; l'armée emmenait avec elle 12,000 à 15,000 ânes pour le transport des
vivres et des bagages, on brûla l'équipage de pont en passant à Punhete [Constância].
[...]
En somme, Masséna avait mis 17 jours (du 5 au 22 mars) pour reculer de 60 lieues devant une armée plus nombreuse que la sienne et ne manquant de rien, tandis que ses soldats étaient forcés de se débander pour vivre. Il ne laissa en arrière ni un canon, ni un blessé, mais ses chevaux étaient épuisés, et quand Marmont vint prendre le commandement de l'armée à Alfayates le 31 mars, l'artillerie n'avait plus que 10 pièces attelées, le reste était trainé par des boeufs*. Mémoires de Marmont, t. IV, p. 33.
quarta-feira, 1 de abril de 2020
Em Alfaiates - D. António, Prior do Crato
(Páginas 238 - 239)
A. C. 1579
21 D. Antonio fluctuando con varia inconstancia havia propuesto varias veces por medio de algunas personas á D. Christoval de Mora, que deseaba concertar-se con el Rey D Felipe; con que en este tiempo salió de Alfayates, y se vino á una quinta quatro leguas de Lisboa, de donde embió á decir á D. Chistoval de Mora que se viniesse disfrazado á verle con grande secreto, porque tenia que comunicarle, deseando concertarse con el Rey D. Felipe su amo. D. Christoval con esta noticia salió disfrazado de Lisboa, y acompañado de D. Jorge Noroña llegó á la quinta ya anochecido. Toda aquella noche trató D. Antonio del ajuste que se havia de hacer con el Rey D. Felipe, y todo él se reducia á que este le havia de dar trescientos mil ducados cada año, y parte de ellos perpetuos, para un hijo que tenia, y por toda su vida el govierno del Reyno de Portugal, y otras muchas cosas tan desproporcionadas como esta. D. Christoval de Mora le respondió que el Rey su amo nunca faltaria á lo que fuesse justo, y que pues él no tenia poder para ajustar esto, le daria noticia de todo aquel tratado y le participaria la respuesta; con que D. Christoval se volvió á Lisboa y D. Antonio á Alfayates.
22 El Rey D. Enrique deseando al parecer dejar concluida la dependiencia de la sucesion, mandó que los pretendientes informassen de sus derechos dentro del termino de treinta dias: y por temor de la peste se fue á Villafranca seis leguas de Lisboa, mandando que le siguissen los Embaxadores. De alli passó á 16. de Novienmbre á Almerin, donde volvió á convocar Cortes para declarar sucesor en la Corona con su consentimiento; y porque en este tiempo D. Antonio andaba alterando, y solicitando los lugares del Reyno, á 11. de Noviembre le llamó por edictos, mandandole que compareciesse dentro de diez dias, y no compareciendo en el termino de ellos, le declaró por rebelde; y haviendo llegado ya todos los Procuradores á Almerin, á 13. de Diciembre pasó tambien á esta villa D. Christoval de Mora para atender á los interesses del Rey D. Felipe su amo: mas varios embarazos dilataron que se abriessen las Cortes hasta el año siguiente. Papeles de la Embaxada de D. Christoval de Mora.
quinta-feira, 26 de março de 2020
quarta-feira, 25 de março de 2020
Lide de Alfaiates - Sacaparte - MONARCHIA LVSYTANA - Frei Francisco Brandão
Q V I N T A
P A R T E D A
MONARCHIA
LVSYTANA.
Que
contem a historia dos Primeiros 23. annos DelRey D. Dinis
Offerecida à Real Magestade de ElRey Dom Ioão o Quarto Nosso Senhor
Escrita pelo Doutor Fr. Francisco Brandão, Monge de Alcobaça,
Chronista Mòr de Portugal, Calificador do S.Officio, Examinador do Tribunal da Consciencia, & Ordens.
Com todas as
licenças necessarias.
Em Lisboa na Officina de Paulo Craesbeeck. Anno 1650.
Páginas 121 a 123
CAPIT. LII.
CAPIT. LII.
Da guerra que fez a Ca-
stella Dom Aluaro Nunes
de Lara cõ gente do Imfan-
te D. Afonso de Portugal: &
da historia de nossa
caparte.
1286
Por este tempo, em que vai a
historia, andaua em Portugal desauindo com elRey Dom Sancho de Castella Dom
Aluaro Nunes de Lara, filho de Dom Ioão Nunes de Lara, & a causa de andar
desauindo com aquelle Rey, era por desualido por lhe cercar a seu pay Dom João
Nunes de Lara na Cidade de Albarrasin dous annos antes, com fauor delRey Dom
Pedro de Aragaõ, que ganhando a Cidade, a deu a seu filho Dom Fernando, desaposando
della ao Dom Ioão Nunes, a quem pertencia por via da mulher Dona Teresa Alueres
de Asagra. Esta occasiaõ de quebra, sobre as que já os Laras tinhão, quando intentaraõ daquella Cidade encontrar as cousas delRey D. Sancho acostados a Nauarra cõ fauor delRey de França, foi a que trouxe a
Dõ Aluaro a Portugal, que então era valhacouto dos caualeiros do Reyno de Castella,
& o serà daqui adiante com Rey separado, como bem sentia o grande Duque de
Alua. Entendia D. Aluaro que o padrinho de sua recõciliação com elRey auia de ser
o desasossego com que o naõ deixasse viuer
seguro: & Como era homem orgulhoso,
& de espirito, & por tal conhecido em ambos os Reynos, conuocãdo gente,
& amigos de hum, & outro, começou a fazer guerra nas fronteiras de Castella
pela parte de Riba de Coa, em que ouue grandes perdas, & roubos, sem que
elRey Dõ Dinis pudesse ir a mão, nem atalhar as demasias deste hospede, antes se
presume, que o Infante D. Afonso lhe daua ajuda por Alentejo, que veio a ser
occasiaõ de nouas quebras cõ elRey seu irmão, de que falaremos no anno seguinte,
em que elRey redusio tudo, & accomodou a Dom Aluaro Nunes.
Acompanharão a Dõ Aluaro nestas guèrras dous caualeiros da familia dos Nouaes, & Barundos filhos de Sueiro
Gonçalues de Barundo, & de Dona Tereja Pires de Nouaes, irmãos do Mordomo mór
do nosso Infante D. Afonso, que mostra bem ser elle coadjutor nestas cousas, &
renderaõ a morte a ambos os irmãos em hum recontro junto a villa de Alfaiates, como
escreue o Conde D. Pedro nestas palauras.
Ε ο sobredito Fernão Soares,
& Sentil Soares, irmãos de Pay Soares Mordomo do Infante D. Afonso morrerom
na lide de Alfaiates, quando lidou D. Aluaro Nunes de Lara cõ os Conselhos de toda a
terra, sendo eles vassalos de Dom Aluaro e o sobredito Esteuão Soares, irmão deste
Fernão Soares, morreo na lide de Tegante com Dom Nuno o bom, cujo vassalo era.
Appellidaraõ e estes
caualeiros, Soares, por razão do pay, que se chamaua Sueiro. Estoutro recontro
de Tegante não sei se seria por este mesmo tempo, que os autores sò fazem
menção agora de assistir cà em Portugal a Dom Aluaro Nunes.
O manuscripto da Torre do Tombo,
não diz que foi esta lide em Alfaiates, senão em Alfaraós, poderà ser que fose
vicio do escreuente, pois vemos que outros
exemplares dizem, Alfaiates. Nesta Villa ha hũa tradição acerca da Ermida de nossa
senhora de Sacaparte, que concorda com isto.
A Igreja de nossa senhora de Sacaparte situada meia legoa de Alfaiates, & em seu limite, entre esta Villa, &
a Aldea da Ponte; sua origem dizem ser, que tendo batalha hũ Rey deste Reyno
com o de Castella no lugar sobredito, vendose ao pôr do Sol em aperto, começou
a dizer: Virgem sacainos a boa parte,
& logo assi succedeo, ficando com toda sua gente para a parte da sua terra.
Em gratificaçaõ querem mandasse
edificar esta casa, & lhe desse a inuocaçaõ de nossa Senhora de Saco a
parte, ou Sacaparte, como agora lhe chamão. Naõ ha em nossas historias noticia
de batalha alguma entre os Reys de Portugal, & Castella naquelle lugar;
donde me persuado, que o caso que anda em tradiçaõ, succedeo nesta lide de Dõ Aluaro
Nunes de Lara, por ser no mesmo destricto de Alfaiates, & com os Confelhos
das terras circumuisinhas. Administrase a Igreja pela Camara, que nomea Ermitão,
& Mordomo, que cõ os oficiaes sae em pelouro: no alto do retabolo estão as
armas reaes.
He Igreja mui capaz; dentro
tem hum poço muito fermoso, cuja agoa faz milagres nos enfermos, particularmente
de maleitas o sitio he agradauel em hum valle muito grande, & aprasiuel,
com huma fonte, & tanque: tem hospital capaz de muita gente. Nos Sabbados
da Quaresma concorre muita, & em todos ha prègação; concorrendo nelles as
villas do Sabugal, Villar maior, & Castel mendo com muitos lugares de seus
termos, alem do de Alfaiates. Na primeira, & segunda oitaua da Pascoa
tornão os mesmos pouos em Romaria, & pelo Spirito Santo vem todo o termo de
Castel mendo com a mesma Villa com sina leuantada, & muita gente de caualo
lusida, que festejão ao redor da casa. De cada lugar do dito termo vem hum homem
nú da cintura para sima, & descalço com hũa tocha muito fermosa, & o da
Villa cõ ventagem; por todas saõ vinte, que costumão pesar cento & triñta arrateis,
huns annos por outros.
Esta deuação dizem tèr
principio de auer naquella terra hum monstro, que destruia campos, & gente,
fizerão promessa à Senhora de vir nesta forma a sua casa cada anno no dia sobredito,
com que se virão liures, & apregoão que faltando hum anno, se viraõ outra
vez perseguidos delle. Cada anno se fazem tres feiras, nas tres festas
principaes da Senhora, Annunciaçaõ, Assumpςaõ, & Natiuidade. Obrou milagres
em algũs nauegantes seus naturaes, que em agradecimento lhe derão peças, &
vestidos; he cafa prouida de muitos ornamentos.
Em outro recontro, que o mesmo
D. Aluaro Nunes teue, andando na Comarca de Tralosmontes, visinho às fronteiras
do Reyno de Leão, matarão tambem a Nuno Rodrigues Bocarro, filho de Ruy Nunes
de Chacim, & casado em Lisboa com Dona Maria Migueis, filha de Miguel
Fernandes colaço do nosso Rey D. Afonso Terceiro. Este fidalgo viuia naquella
Comarca, por serem herdados nella os deste appellido de Chacim, que he junto da
villa de Moncoruo. Delle diz o Conde Dom Pedro:
Este Nuno Rodrigues Bocarro, filho de Rui Nunes sobredito, matarãono em
Riba Douro sobre Miranda apar de huns moinhos, hu andaua em companhia de Dom Aluaro
Nunes de Lara, & hia em partimento de huma lide.
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